Faites attention au poids ! De façon très vigilante, le diabétologue doit suivre tous les 6 mois, et même tous les 4 mois à l’adolescence le poids de ses patients de l’enfance à l’adolescence, ainsi que la dose d’insuline quotidienne
Catégories
L’insulinothérapie fonctionnelle
C’est un terme qui veut dire “adapter les doses d’insuline aux évènements des heures à venir: repas, exercice physique, etc”
Rétinopathie
Le risque de rétinopathie des jeunes diabétiques est aujourd’hui bien précisé grâce aux registres scandinaves [1, 2] qui ont suivi des patients diagnostiqués en 1983-1986 et qui sont aujourd’hui âgés de 30 à 40 ans
Jeunes enfants diabétiques de type 1
La période avant 5 ans couvre les premières années de vie ainsi que les années de crèche. Le diabète de type 1 était autrefois rare dans cette tranche d’âge
Programmation préconceptionnelle – Contraception
(Pr Jacques Lepercq, Maternité de Port Royal – Hôpital Cochin) La fertilité est normale chez les femmes jeunes ayant un diabète de type 1
Puberté dans le diabète de type 1
Puberté dans le diabète de type 1 • La puberté des filles • Causes de retard pubertaire chez une adolescente diabétique • La puberté des garçons • Mécanismes de retard pubertaire • Références Puberté dans le diabète de type 1 Même si c’est rarement une préoccupation clinique à l’échelle individuelle, […]
Les diabètes pouvant être confondus avec le diabète de type 1
MODY (Maturity Onset Diabetes of the Youth) est un vieux terme inapproprié mais entré dans la pratique : mieux vaut dire diabètes monogéniques
Exercice musculaire, sports
Il ne faut pas confondre activité physique et exercice musculaire. L’activité physique est à favoriser, mais n’est ni un moyen de “brûler du sucre”…
Greffes d’îlots et cellules souches
De multiples options sont développées par les chercheurs pour introduire dans l’organisme des cellules capables de secréter de l’insuline de façon physiologique
Lourdeur psychologique de la maladie
Comme toute maladie chronique, le diabète de type 1 n’est pas bien vécu par la plupart des enfants et des adolescents. Le patient sait qu’il ne guérira pas ; il découvre que son traitement donne des résultats qui ne sont jamais très satisfaisants